"Les cabines téléphoniques, il ne faut pas les jeter aux chiottes...fût le slogan du jour, le téléphone filaire c'est pas ringard, fût le refrain..."
CAR LES ONDES C'EST DANGEREUX!!!
Huit membres de la Coordination Nationale et collectif St germain et Hamid le porte parole du collectif Lou Perlic de Léognan ont mené ce matin une action de désobéissance civil, pacifiste et non violente, pour lancer la dynamique de communication et de mobilisation citoyenne tous les derniers samedis du mois.....
CAR LES ONDES C'EST DANGEREUX!!!
Huit membres de la Coordination Nationale et collectif St germain et Hamid le porte parole du collectif Lou Perlic de Léognan ont mené ce matin une action de désobéissance civil, pacifiste et non violente, pour lancer la dynamique de communication et de mobilisation citoyenne tous les derniers samedis du mois.....
Ils avaient prévu une action symbolique contre les opérateurs, mais, fait du hasard ou pas, les panneaux publicitaires repérés pour l'action avaient disparu dans la nuit....Le lundi une fuite dans la presse l'avait annoncé, en deux jours plus un seul panneau, plus un abris bus, plus rien. Génial!!!
Si demain on annonce dans la presse que l'on va démonter des antennes vont-ils les enlever dans la nuit?
Qu’à cela tienne, action de secours!!!
Les protagonistes soutenus par des élu(e)s dont Jacques Respaud et
Marie Bové, ont symboliquement couvert une cabine téléphonique de
Bordeaux pour la protéger.
Leur disparition est symptomatique de l'explosion du monde de la téléphonie mobile et l'installation tout azimut des antennes relais vont de paire.
Nous Appelons tous les citoyens, les collectifs, les associations locales, régionales, nationales, les élu(e)s à nous rejoindre, à nous soutenir à s'inscrire dans la dynamique de communication et de contestation citoyenne contre l'implantation tout azimut des antennes antennes relais, contre la politique du laisser faire en la matière.
Manifestons tous ensemble notre indignation contre cette problématique.
Tous les derniers samedis du mois devant nos préfectures, nos mairies, sur les marchés partout ou vous pouvez, à deux à trois ou quatre, on peut faire beaucoup pour ce problème de santé publique. Si on le fait tous ensemble.
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